Chères électrices, chers électeurs.
Christian GIRARD, je me présente à vous, j’ai 62 ans, je suis né au 6, Boulevard Louis Martin-Bret à Manosque, père d’un garçon de 26 ans. J’ai été Employé de Commerce, Employé du Trésor Public et maintenant retraité de la Caisse d’Epargne. Dans le monde des Associations depuis l’âge de 18 ans : Membre du Lions Club de Manosque, Membre de l’Association des Commerçants de Manosque, Conseiller Technique de la Chambre de Commerce et d’Industrie des Alpes de Haute Provence, Président de l’Association du Tour des Communautés de Communes de Haute Provence.
La préoccupation majeure des Français c’est le chômage, l’emploi. La seconde est la baisse de la dette publique qui s’élève, comptabilisée depuis 30 ans à 2075 milliards d’euros.
Les 2 cas sont indissociables, les répercussions de la dette sont énormes. Les budgets sont tous revus à la baisse dans les collectivités locales et celles-ci sont associées au programme de redressement des finances publiques par une réduction de 10 % de leurs DGF « dotation globale de fonctionnement ».
La France est à l’arrêt. Défendons les familles et la politique familiale. Notre combat pour la défense de nos idées et pour l’avenir de notre canton exige un engagement de chaque instant car, face à un pouvoir à l’agonie, nous ne pouvons attendre pour agir.
Depuis le passage du franc à l’euro, la baguette a augmenté de 100 %, les indemnités de nos élus de 218 %, alors que le salaire moyen dans le secteur privé a baissé de 0,5 %.
Élu, je m’engage à reverser l’indemnité de base que je percevrai, diminuée des frais (déplacements, repas, divers) dès la 1er année à « LA LIGUE CONTRE LE CANCER, COMITÉ DES ALPES DE HAUTE PROVENCE ».
Christian GIRARD, je me présente à vous, j’ai 62 ans, je suis né au 6, Boulevard Louis Martin-Bret à Manosque, père d’un garçon de 26 ans. J’ai été Employé de Commerce, Employé du Trésor Public et maintenant retraité de la Caisse d’Epargne. Dans le monde des Associations depuis l’âge de 18 ans : Membre du Lions Club de Manosque, Membre de l’Association des Commerçants de Manosque, Conseiller Technique de la Chambre de Commerce et d’Industrie des Alpes de Haute Provence, Président de l’Association du Tour des Communautés de Communes de Haute Provence.
La préoccupation majeure des Français c’est le chômage, l’emploi. La seconde est la baisse de la dette publique qui s’élève, comptabilisée depuis 30 ans à 2075 milliards d’euros.
Les 2 cas sont indissociables, les répercussions de la dette sont énormes. Les budgets sont tous revus à la baisse dans les collectivités locales et celles-ci sont associées au programme de redressement des finances publiques par une réduction de 10 % de leurs DGF « dotation globale de fonctionnement ».
La France est à l’arrêt. Défendons les familles et la politique familiale. Notre combat pour la défense de nos idées et pour l’avenir de notre canton exige un engagement de chaque instant car, face à un pouvoir à l’agonie, nous ne pouvons attendre pour agir.
Depuis le passage du franc à l’euro, la baguette a augmenté de 100 %, les indemnités de nos élus de 218 %, alors que le salaire moyen dans le secteur privé a baissé de 0,5 %.
Élu, je m’engage à reverser l’indemnité de base que je percevrai, diminuée des frais (déplacements, repas, divers) dès la 1er année à « LA LIGUE CONTRE LE CANCER, COMITÉ DES ALPES DE HAUTE PROVENCE ».
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Madame, Mademoiselle, Monsieur,
Si nous avons décidé de solliciter vos suffrages, c’est pour offrir une véritable alternative à toutes celles et ceux qui ne se reconnaissent pas dans les candidats de partis et se réfugient, faute de mieux, dans l’abstention ou bien le vote contestataire.
Mon équipe et moi-même sommes fiers d’appartenir à la Société Civile. En rupture avec les partis traditionnels nous prenons l’engagement d’une implication forte pour améliorer votre vie quotidienne, vous offrir un avenir meilleur dans la stricte observance des droits légitimes de tout un chacun. Un tel objectif suppose une grande disponibilité pour la mise en œuvre de nos actions dans le cadre de notre Canton. Qui doit être également défendu dans son identité provençale, sujet d’une brûlante actualité. Par notre permanence sur le terrain, nous répondrons au mieux à vos attentes dans le respect de nos engagements.
Si nous avons décidé de solliciter vos suffrages, c’est pour offrir une véritable alternative à toutes celles et ceux qui ne se reconnaissent pas dans les candidats de partis et se réfugient, faute de mieux, dans l’abstention ou bien le vote contestataire.
Mon équipe et moi-même sommes fiers d’appartenir à la Société Civile. En rupture avec les partis traditionnels nous prenons l’engagement d’une implication forte pour améliorer votre vie quotidienne, vous offrir un avenir meilleur dans la stricte observance des droits légitimes de tout un chacun. Un tel objectif suppose une grande disponibilité pour la mise en œuvre de nos actions dans le cadre de notre Canton. Qui doit être également défendu dans son identité provençale, sujet d’une brûlante actualité. Par notre permanence sur le terrain, nous répondrons au mieux à vos attentes dans le respect de nos engagements.
Est-il besoin de rappeler que le chômage globalement en constante augmentation, constitue la préoccupation majeure des Français quand d’un autre côté, la dette publique ne cesse d’enfler de manière impressionnante s’élevant aujourd’hui, à 2075 milliards sur 30 ans. Conséquence de taille : les budgets des collectivités territoriales sont tous revus à la baisse ! Ce grand coup de ciseau s’associe au programme de redressement des finances publiques à hauteur de 10 % de réduction de la DOTATION GLOBALE DE FONCTIONNEMENT (DGF) de nos collectivités.
A nos yeux, créer de l’emploi passe, bien entendu, par le développement du marché du travail basé sur la création d’entreprises et la formation de nos jeunes. Pour aider nos entreprises, il est impératif de trouver de nouvelles ressources tant il est démontré qu’elles se trouvent, aujourd’hui, dans des situations financières alarmantes. Qu’elles soient grandes ou petites, elles représentent l’avenir, l’espoir. Avançons avec elles !
A nos yeux, créer de l’emploi passe, bien entendu, par le développement du marché du travail basé sur la création d’entreprises et la formation de nos jeunes. Pour aider nos entreprises, il est impératif de trouver de nouvelles ressources tant il est démontré qu’elles se trouvent, aujourd’hui, dans des situations financières alarmantes. Qu’elles soient grandes ou petites, elles représentent l’avenir, l’espoir. Avançons avec elles !
COLLÈGES EN ALERTE DANS NOTRE CANTON
C’est un volet crucial qui mérite une large réflexion. Le cas du Collège de Volx est édifiant. Au bout de 8 ans d’existence, force est de constater qu’il aurait déjà besoin d’un rafraîchissement en particulier à l’extérieur. Passons.
Pour le constat plus alarmant, notre fil rouge, c’est Marie-Thérèse Girodo-Zanca. Depuis 7 ans, elle est impliquée dans la vie associative du Collège. Sa conclusion : le manque criant de moyens mis en place par le Conseil Général au bénéfice des structures de l’établissement Volxien. Celui-ci, a été construit pour une capacité d’accueil de 400 élèves avec prévision d’extension à 600 élèves. Or, à ce jour, 454 élèves sont attendus pour la rentrée 2015-2016…
A quand la nouvelle extension ? Doit-on attendre de passer à 500 élèves ou davantage pour se réveiller ? Par ailleurs, les dotations globales horaires d’élèves ont été votées. Elles ne manquent pas de surprendre ! Pour assurer de bonnes conditions de travail à nos enfants, on supprime non seulement la classe DP 3 (8 élèves) mais également l’enseignement de langue allemande ainsi que la chorale forte d’une trentaine d’élèves. Pour changer cette situation, le Conseil Général doit, autant que possible, faire plier le DASEN (Direction Académique des Services de l’Éducation Nationale).
Même constat au Collège du Mont d’Or à Manosque où, depuis plusieurs années un étage complet est à l’abandon. Pourquoi laisser cet établissement dans un tel état ? La situation est préoccupante. La compétence du Conseil Général est indubitablement mise en cause.
C’est un volet crucial qui mérite une large réflexion. Le cas du Collège de Volx est édifiant. Au bout de 8 ans d’existence, force est de constater qu’il aurait déjà besoin d’un rafraîchissement en particulier à l’extérieur. Passons.
Pour le constat plus alarmant, notre fil rouge, c’est Marie-Thérèse Girodo-Zanca. Depuis 7 ans, elle est impliquée dans la vie associative du Collège. Sa conclusion : le manque criant de moyens mis en place par le Conseil Général au bénéfice des structures de l’établissement Volxien. Celui-ci, a été construit pour une capacité d’accueil de 400 élèves avec prévision d’extension à 600 élèves. Or, à ce jour, 454 élèves sont attendus pour la rentrée 2015-2016…
A quand la nouvelle extension ? Doit-on attendre de passer à 500 élèves ou davantage pour se réveiller ? Par ailleurs, les dotations globales horaires d’élèves ont été votées. Elles ne manquent pas de surprendre ! Pour assurer de bonnes conditions de travail à nos enfants, on supprime non seulement la classe DP 3 (8 élèves) mais également l’enseignement de langue allemande ainsi que la chorale forte d’une trentaine d’élèves. Pour changer cette situation, le Conseil Général doit, autant que possible, faire plier le DASEN (Direction Académique des Services de l’Éducation Nationale).
Même constat au Collège du Mont d’Or à Manosque où, depuis plusieurs années un étage complet est à l’abandon. Pourquoi laisser cet établissement dans un tel état ? La situation est préoccupante. La compétence du Conseil Général est indubitablement mise en cause.
ECOCAMPUS DE SAINTE TULLE
Ce projet phare est mené par le CCIT des Alpes de Haute-Provence, la DLVA, le Conseil Régional et le Conseil Général. Tout doit être mis en œuvre pour que cette structure majeure puisse accueillir, à l’horizon 2016, près de 400 élèves. Du baccalauréat à la licence professionnelle dans la recherche d’énergies carbonées. Nous soutiendrons de toutes nos forces ce projet qui s’inscrit résolument dans la modernité.
Notre équipe est particulièrement soucieuse de l’avenir de notre planète. Sur la commune de Volx, ma coéquipière Marie-Thérèse Girodo-Zanca est membre de la Commission Écologie. Elle suit notamment de très près le projet de compostage des déchets qui devrait s’étendre à l’ensemble des Communes. Il est urgent de ne plus attendre. On se doit de sensibiliser les nouvelles générations dès leur plus jeune âge. La réussite du projet tient à cette condition.
Ce projet phare est mené par le CCIT des Alpes de Haute-Provence, la DLVA, le Conseil Régional et le Conseil Général. Tout doit être mis en œuvre pour que cette structure majeure puisse accueillir, à l’horizon 2016, près de 400 élèves. Du baccalauréat à la licence professionnelle dans la recherche d’énergies carbonées. Nous soutiendrons de toutes nos forces ce projet qui s’inscrit résolument dans la modernité.
Notre équipe est particulièrement soucieuse de l’avenir de notre planète. Sur la commune de Volx, ma coéquipière Marie-Thérèse Girodo-Zanca est membre de la Commission Écologie. Elle suit notamment de très près le projet de compostage des déchets qui devrait s’étendre à l’ensemble des Communes. Il est urgent de ne plus attendre. On se doit de sensibiliser les nouvelles générations dès leur plus jeune âge. La réussite du projet tient à cette condition.
NOS SÉNIORS
Les séniors demeurent l’un des moteurs de croissance économique. Parce que l’on vit de plus en plus vieux en bonne santé, on assiste à l’émergence d’une population aux cheveux blancs susceptible de contribuer à la dite croissance.
Les séniors demeurent l’un des moteurs de croissance économique. Parce que l’on vit de plus en plus vieux en bonne santé, on assiste à l’émergence d’une population aux cheveux blancs susceptible de contribuer à la dite croissance.
Répondre aux besoins des séniors participe de l’enjeu du développement de notre Canton.
CONTOURNEMENT DE MANOSQUE
Il devient de plus en plus problématique aux usagers de la route de contourner Manosque, plaque tournante du Val de Durance et de la sortie d’autoroute la plus fréquentée de l’A51. Les difficultés résultent du temps nécessaire, au demeurant grandissant, pour rallier le centre-ville ou des communes voisines. Il est urgent que le Conseil Général prenne ce problème à bras le corps pour faire sauter ce verrou. Depuis trop longtemps, les répercussions de cet engorgement routier nuit gravement aux commerces manosquins du centre-ville. De très nombreux consommateurs ne viennent plus en ville faire leurs achats malgré la mise à disposition de parkings.
Il devient de plus en plus problématique aux usagers de la route de contourner Manosque, plaque tournante du Val de Durance et de la sortie d’autoroute la plus fréquentée de l’A51. Les difficultés résultent du temps nécessaire, au demeurant grandissant, pour rallier le centre-ville ou des communes voisines. Il est urgent que le Conseil Général prenne ce problème à bras le corps pour faire sauter ce verrou. Depuis trop longtemps, les répercussions de cet engorgement routier nuit gravement aux commerces manosquins du centre-ville. De très nombreux consommateurs ne viennent plus en ville faire leurs achats malgré la mise à disposition de parkings.
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Chères électrices,
chers électeurs,
Les élections
cantonales approchent à grand pas, et je voudrais me présenter en quelques
lignes.
Je m’appelle Marie
Thérèse GIRODO-ZANCA. Je suis née à Lyon en 1960. Je suis mariée, mère de cinq
enfants, et grand-mère de deux petits enfants. Domiciliée à Volx depuis 18 ans,
je suis très investie dans diverses associations telles que la crèche, les
parents d’élèves CLPE en maternelle et primaire, puis FCPE au collège de Volx
et au lycée des Iscles de Manosque. J’ai été également Présidente de
l’Association « La vie pour Chiara ». Je suis conseillère municipale depuis 8
ans, dans un premier temps dans la majorité et maintenant dans l’opposition.
Vous l’aurez compris
l’avenir de notre jeunesse me tient particulièrement à cœur, que ce soit pendant
la scolarité ou lors du départ dans la vie active.
Mais je n’oublie pas,
bien sûr, les actifs et les retraités, car la vie est devenue de plus en plus
difficile pour tout le monde. Pour tenter de remédier à ces maux, il faut du
sang neuf, sans pour autant tomber dans l’extrême jeunesse et le manque
d’expérience. Certains d’entre vous m’ont certainement croisée lors de mon
parcours professionnel, que ce soit à l’hôpital (service maternité puis service
des urgences où j’y ai pris ma retraite du service public en 2013 pour raisons
personnelles) ou tout simplement actuellement à Carrefour Market à La
Brillanne, où j’exerce en qualité de responsable de caisse. Je suis
accompagnée, pour ce que j’espère être une nouvelle étape de ma vie, par mon
ami Christian Girard qui apportera son expérience et ses nombreuses compétences
au service de chacun dans notre canton. Nous viendrons à votre rencontre afin
de vous présenter notre programme, faire plus ample connaissance et surtout
être à l’écoute de vos attentes, de vos idées afin que, ENSEMBLE, nous
apportions du renouveau dans notre canton.
Notre priorité :
trouver des solutions pour nos jeunes sans travail et souvent sans permis de
conduire, pour nos retraités qui n’ont pas toujours une retraite correcte pour
vivre décemment ,et bien sûr, pour vous tous qui travaillez et pour qui la vie
au quotidien n’est pas toujours facile non plus. Je n’oublie pas nos chefs
d’entreprises de PME, les artisans, les commerçants, qui représentent l’avenir,
l’espoir, et c’est avec VOUS TOUS QU’IL FAUT AVANCER !!
Chères électrices, Chers électeurs,
Je m’appelle
Jean-Louis POURCIN, je suis né à Manosque sous le soleil du mois d’aout 1959…
mon Père était de même natif de la ville, ma Mère quant à elle est originaire
du hameau de Saint-Estève situé dans le 04 à proximité du village de Thoard… Je
suis amoureux du pays, mais je ne suis pas le seul : La Provence est une
région magnifique et accueillante, ce secteur du département est en plein
essor, nombreux sont ceux qui nous ont rejoint parce qu’ils souhaitaient y
vivre…
J’ai vécu ma petite
enfance auprès de ma ville natale, dans le quartier de la place du contrôle,
puis sur les collines. Ma scolarité s’est déroulé dans les écoles locales,
cependant j’ai dû faire une escapade à Aix en Provence pour obtenir le
bac ; dans les années 70 nous n’avions pas la chance de posséder un lycée
technique aux portes de la ville…
Lorsque je suis
arrivé dans la vie active, à la sortie de l’armée, mes études
d’électrotechniques ne m’offraient plus les possibilités d’emplois que j’avais
espérés auparavant ! Comme j’étais marié et que je me devais de répondre
présent pour ma famille de trois enfants, j’ai dû occuper successivement les
emplois d’ouvrier imprimeur (qui était le métier de mon père), de monteur
électricien. Puis par les hasards de la vie, je rentrais au CEA tout en
reprenant simultanément mes études. Mon diplôme nouvellement acquis me
permettait d’accéder à un travail de radioprotectionniste… Mission assez peu
connue du grand public, qui consiste à protéger activement la santé des
salariés dans lors de leurs activités professionnelles sur centre nucléaire de
Cadarache!
Mais toutes ces
années m’ont donné à voir que le réconfort humain était souvent nécessaire pour
traverser les épreuves que la vie ne manque d’imposer à la plupart d’entre
nous. Il m’a semblé nécessaire de rechercher des actions qui aient encore
d’avantage de sens. Cela m’a amené en 2013 à répondre positivement à une
annonce publiée par un des principaux acteurs dans le domaine de l’action
humanitaire… et depuis je suis bénévole pour servir et j’y exerce maintenant
des responsabilités…
Aujourd’hui
enfin, j’ai décidé de répondre à une sollicitation vis-à-vis des élections
départementales et pour moi, cela a du sens : en effet, outre le fait que ces
élections sont une lointaine émanation des décisions de fin 1789, ce sont bien
les champs de compétence des élus et les budgets des départements qui sont en
première ligne aujourd’hui ! Que ce soit pour l’aide aux familles,
vis-à-vis de la prévention et de l’aide médico-sociale ainsi que l’aide aux
personnes âgés, à l’enfance, aux les divers aménagements de l’équipement rural,
Toutes ces interventions de terrain qui permettent de conserver les liens, tout
d’abord entre les citoyens, puis par voie de conséquence, avec la société. Et
pour conclure, je le fais aussi pour soutenir un candidat qui par ses activités
à toujours démontré son action désintéressée pour la communauté des citoyens.
Chères électrices,
chers électeurs,
Dans le cadre des élections départementales 2015 du canton Manosque 2, je souhaite me présenter à vous.
Je m’appelle Catherine BRIGLIOZZI. Mes parents sont arrivés à Manosque en Septembre 1961, amenant dans leurs bagages mon frère Paul et moi-même, née à Marseille le 27 Octobre 1951. Ils créent alors la société « PAUL ET CATHY » de vente au détail des chaussures ERAM.
Très jeune, à 16 ans, employée par mon père « Zaza » honorablement connu, j’ai découvert les us et coutumes de la vie manosquine. L’intégration a été rapide et bienfaisante. J’ai aussitôt aimé cette belle ville de Jean Giono, et ces nombreuses années dans le commerce m’ont permis d’être appréciée de ses habitants.
A la disparition de mon père, j’ai orienté mon activité professionnelle dans le milieu médical et hospitalier. En 1998, j’intègre la société des Ambulances de Manosque comme ambulancière et conductrice de VSL jusqu’à ma retraite, l’an passé. Pendant plus de quinze années j’ai donné énormément de mon temps et de dévouement aux personnes malades, aux accompagnants, ainsi qu’au personnel hospitalier.
Je suis très motivée pour m’occuper des problèmes de mes concitoyens, et souhaite m’engager dans la vie publique pour l’intérêt collectif du canton.
___________________________________
Famille, solidarité pour une politique autrement.